Village de Bonnebosq
Quelle meilleure introduction que cette citation de Jacques-Emile Blanche (peintre dieppois, 1861-1942) "Je suis fou de Bonnebosq" dans une lettre adressée à André Gide en 1901 ?
On pourrait encore citer Pierre-Jean Pénault "On croirait Bonnebosq sorti des pages de Madame Bovary".
L'une des etymologies du mot Bonnebosq l'apparente au latin "boscum" signifiant bois.
Le bourg conjugue colombes colorés et briques.
L'église
L'église romane du XIIème siècle a été détruite ; l'édifice actuelle date du XIXème.
L'école des garçons
En 1864, la nouvelle école des garçons est inauguré. Il s'agit d'un grand bâtiments en briques. Les ouvertures du rez-de-chaussée sont en plein cintre, à la différence des fenêtres rectangulaires de l'étage.
L'académien et homme politique, François Guizot, a pendant quelques années présidé la distibution de la remise des prix de l'école.
Le lavoir
Ce lieu autrefois fréquenté par les femmes pour laver et surtout rincer le linge, fait aujourd'hui parti intégrante du "petit" patrimoine. Le lavoir de Bonnebosq dispose d'un système de retenue d'eau.
Yul Brynner (1920-1985)
Le célèbre acteur américain, d'origine russe, acquiert dans les années 70, le manoir de Criqueboeuf (XVIème siècle, situé dans le centre de Bonnebosq). Il vient s'y reposer entre deux tournages.
Le stade
Yul Brynner a soutenu financièrement la commune dans son projet de création d'un nouveau stade pour le club de foot "l'étoile sportive de Bonnebosq". La municipalité sollicite l'acteur pour un prêt ; ce dernier effacera finalement l'ardoise.